Au CPA Lyon–Grenoble, Nicolas Michelon a lancé une série consacrée à l’Asie–Pacifique. Cette première partie explique pourquoi les contentieux du XXᵉ siècle structurent encore les flux commerciaux et les règles du jeu.
Exemples clés : le différend Chine–Japon autour de Nankin et le dossier Corée du Sud–Japon des “femmes de confort”. Dans ce dernier cas, une décision de justice sud-coréenne a déclenché des mesures japonaises de contrôle sur des intrants critiques des semi-conducteurs : preuve qu’un sujet mémoriel peut devenir une guerre économique.
Pour les entreprises européennes, trois conséquences :
- Risque réglementaire dynamique (sanctions, réexportations, listes de contrôle) ;
- Exposition supply chain sur matériaux et chimie fine ;
- Sensibilités culturelles qui influencent négociations et partenariats.
Dans la mission ASEAN menée avec CLAUGER, les dirigeants en formation management stratégique du CPA transforment cette lecture en actions : stress-tests de fournisseurs, dual-sourcing, clauses contractuelles “sanctions-proof”, et narratif corporate adapté aux contextes locaux.
C’est l’ADN du programme CPA Lyon–Grenoble : pédagogie par l’action, intelligence collective et excellence certifiante (niveau 7) au service d’une posture de dirigeant capable de décider dans l’incertitude et d’orchestrer le management de la complexité.
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